Hospital Notre-Dame à la rose (lessines)

Hello Juliette et André et nous tous,

Dire que les croisés n'ont jamais atteint la terre Sainte, c'est mettre godefroy de Bouillon aux oubliettes, pas de siège de jérusalem, les chroniques de l'époque qu'elles soient côté musulman où chrétien seraient de douces fables !!!

Pareil avec Bonaparte et Moscou ,mais on s'écarte du sujet.

Les dilligences où fourgons postales étaient conçus très lourdement, on est au moyen-âge, l'efficacité, la fiabilité, la robustesse devaient être des facteurs de sécurité incontournables demandant très certainement des arrêts réguliers après X lieux : picotin, besoins urgents, voir aussi descendre de cheval pour ménager les montures et marcher sur une certaine distance etc... . Prendre en considération que les passages à gai étaient plus fréquents que les ponts. Les périodes de crue etc...

Même avec des chevaux légers, on ne parcourt pas 40 Km sans descendre de cheval pour le bien de tous, voir la guerre 14/18 et les règlements militaires.

Je persiste à vous faire part que les déplacements se faisaient à 90% au pas.D'où les points de repos où de mise à couvert des charrois étaient en rapport avec les distances possible pour l'époque.
Ah oui, je vous invite à suivre à pied la cadence d'un cheval au pas et cela sur quelques km, croyez-moi, soufrance assurée. Quand on marche à côté de son cheval, il faut régler son pas sur le votre et non le contraire.Tous cela pour essayer de se remettre dans le contexte de l'époque.

Amicalement,

ALERION a écrit:

Hello Juliette et André et nous tous,

Dire que les croisés n'ont jamais atteint la terre Sainte, c'est mettre godefroy de Bouillon aux oubliettes, pas de siège de jérusalem, les chroniques de l'époque qu'elles soient côté musulman où chrétien seraient de douces fables !!!

Pareil avec Bonaparte et Moscou ,mais on s'écarte du sujet.

Les dilligences où fourgons postales étaient conçus très lourdement, on est au moyen-âge, l'efficacité, la fiabilité, la robustesse devaient être des facteurs de sécurité incontournables demandant très certainement des arrêts réguliers après X lieux : picotin, besoins urgents, voir aussi descendre de cheval pour ménager les montures et marcher sur une certaine distance etc... . Prendre en considération que les passages à gai étaient plus fréquents que les ponts. Les périodes de crue etc...

Même avec des chevaux légers, on ne parcourt pas 40 Km sans descendre de cheval pour le bien de tous, voir la guerre 14/18 et les règlements militaires.

Je persiste à vous faire part que les déplacements se faisaient à 90% au pas.D'où les points de repos où de mise à couvert des charrois étaient en rapport avec les distances possible pour l'époque.
Ah oui, je vous invite à suivre à pied la cadence d'un cheval au pas et cela sur quelques km, croyez-moi, soufrance assurée. Quand on marche à côté de son cheval, il faut régler son pas sur le votre et non le contraire.Tous cela pour essayer de se remettre dans le contexte de l'époque.

Amicalement,

Pour les déplacements en charriot d'accord ! mais les chevaliers n'étaient pas toujours accompagnés d'un convoi, c'est surtout de cela que je parlais au départ, et là il devaient bien aller plus vite ! c'est là que je les compare a un vélo !

Non merci pour suivre un cheval au pas ! ce qui veux déjà dire qu'il va plus vite que nous même au pas LOL

Sans parler des Estafettes ! éclaireurs et autres, messagers etc…

@micalement

Juliette